Il ne se passe pas une séance de photographie avec les Naïades sans un souffle de magie.
Leurs voix mêlées m’ont entourée, résonnant du lit profond de la rivière jusqu’à l’ouverture du ciel.
Et quand elles se sont tues, ne laissant
que la nature à percevoir, son rythme silencieux et quelques frémissements de feuilles, une jeune hippie blonde et intemporelle les remercia, avec une sincère sérénité, de leur « présence » qui est en effet belle et intense.
Trois voix. Trois musiciennes. Trois âmes qui incantent les esprits de la nature et incarnent une nouvelle féminité sacrée.